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Bonjour, je m'appelle Mohamed, j'ai la vingtaine, et j'ai découvert il y a quelques mois mon homosexualité.
Jusque là rien d'extraordinaire, mais mon expérience peut aider plusieurs d'entre vous à trouver leur véritable voie.
J'aimai le sexe avant cette découverte, et je l'aime d'avantage depuis. Je n'ai pas envie de cacher mes penchants, car il faut vivre avec son temps. Je n'ai aucun tabou, et vous le découvrirez dans mes articles. J'ai redécouvert le sexe autrement, et mieux croyez-moi. A la fois passif et actif, je vous ferai découvrir sans retenue mes expérience. Je vous inviterai dans mon intimité, et les plus profonds désirs. Seul, à deux, à plusieurs, avec des couples, vous vivrez avec moi mes expériences, qu'un jour peut-être vous vivrez vraiment et pas qu'au travers de mes récits. N'hésitez pas à me contacter pour faire connaissance.
Bises à tous et à toutes.
Momo.

Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 11:37

Cela remonte au mois de juin. Une amie m'invite à une soirée de fin de cycle Kiné à Poitiers. Super ambiance, et comme d'habitude dans ce type de soirée, tout le monde fini bourré et à poil. Cet état de fait ne semblait pas choquer les participants qui passent leur temps en sous vêtements pendant les cours. C'est d'ailleurs pas mal comme concept, je devrais peut-être faire kiné ?
Là, tous les corps en sueur se mêlent, s'agitent, se frottent, et même si on est en dehors du trip, on ressent quand même une sensation un peu bizarre. Aussi étrange que cela puisse paraitre, moi qui en général n'en manquai pas une pour draguer la minette, j'étais plus dans un trip de provocation comme pour dire aux filles, ne m'approcher pas, vous n'avez aucune chance. Arthur était un ami de la personne qui m'avait invité. Lui aussi s'est pris au jeu, et pour cause, son allure maniérée sous entendait quelques penchants qui pourraient non conventionnels. Rapidement désinhibé par l'alcool, je l'invitai dans un zouk endiablé. Là, je n'ai pas bien compris ce qui m'arrivait, mais je sentais que cette danse ne me laissait pas indifférent, ce qui ne manqua pas d'observer mon partenaire au travers de mon Jeans.
Il me rejeta non pas par dégoût, mais par surprise...

Il ne pensait pas un seul instant que je pouvais ressentir des choses pour un autre homme. Le jeu était basé sur un rapport ambigu, mais cette dernière manifestation incontrôlée laissait sous-entendre le contraire.

Revenus de nos esprits, nous discutons longuement laissant nos amis enchaîner les rhum coka.

Emilie un peu malade et surtout fatiguée, nous demande de rentrer. Nous allons tous les trois chez Arthur. Emilie s'endorme en travers du lit ne nous laissant aucune place.
J'embrasse Arthur sans trop de raison, comme pour lui dire merci. Il m'est arrivé de faire des smacks à des garçons, mais jamais avec la langue. Arthur prend les choses en mains, et déboutonne ma chemise en me caressant le torse. Je me sens bien...
J'essai à mon tour de le caresser, mais il arrête mes tentatives en me chuchotant : "laisse, c'est moi qui m'occupe de toi". Sa main frotte mon entre jambes et une érection douloureuse par son intensité m'assaille. La place dans mon jeans manque, je le quitte. Tantôt tendre, tantôt passionnée, sa main habile me caresse inlassablement. Il descend peu à peu, et lèche mon sexe des testicules jusqu'au gland. C’était insupportable tellement c'est bon. Je luttais dans mon fort intérieur pour ne pas ouvrir les yeux, et me rendre compte que l’expérience extraordinaire que je vivais était le fruit d’un homme.

Je ne pouvais lui demander d’arrêter tant cette expérience était merveilleuse.  Jamais une femme ne m’avait apporté autant de plaisir lors d’une fellation. Au bord du précipice, je l’averti de la tempête comme pour le protéger. Sa main se pose alors sur mon torse pour me rassurer, et me confirmer que je pouvais partir sereinement.

Dans un râle profond à peine masqué, mon éjaculation fut interminable. Une douleur se rependit du cocsisse au nombril. Pas une goutte ne fut oubliée. Arthur se lève, et va dans la cuisine pour me ramener un verre d’eau. Là, je me rencontre de ce qui vient de se passer. Je me rhabille vite, et quitte les lieux honteux.

Dans le Taxi qui me ramène à la résidence étudiante, je repasse ce qui vient de se passer. Arrivé chez moi, je vomi. Je suis resté au lit 4 jours en me portant malade, et sans répondre au téléphone. Je n’osai pas sortir de peur de voir tout le monde être au courant ce qui ne fut pas le cas.

Par Mohamed GUEYE - Publié dans : Les duos
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